Chaque fin d’année, les Directions Financières et Comptables se mobilisent pour fiabiliser les comptes et préparer la clôture comptable. Pourtant, un sujet reste souvent sous-estimé : le traitement des encours clients et le recouvrement des créances. 

Dans un contexte où la réforme de la facture électronique 2026 va imposer une traçabilité totale des factures émises et reçues, cette étape devient stratégique. Anticiper la facture électronique, c’est aussi fiabiliser vos encours clients et réduire votre DSO.

Une période sous pression pour les équipes financières :

En novembre et décembre, le temps joue contre vous. Les équipes sont sous pression : préparation des budgets, derniers arbitrages, signatures de contrats pour atteindre les objectifs… Autant de sujets qui mobilisent les équipes front et back-office, chez vous comme chez vos clients. 

Résultat : la fin d’année est une période difficile pour recouvrer les créances échues, résoudre les litiges et accélérer les encaissements. Et dans ce contexte, la tentation est grande de “nettoyer la balance âgée” en reclassant les créances en “clients douteux” (passage du compte 411 au 416). 

Une fausse bonne idée pour améliorer le DSO : 

Ce reclassement a un effet immédiat : il fait baisser artificiellement le DSO et donne une image plus flatteuse de la performance interne du recouvrement. Mais cette solution de facilité cache plusieurs risques : 

• Le passage en 416 s’accompagne souvent d’une provision pour dépréciation (compte 491) qui dégrade le résultat net.
• Ces créances douteuses disparaissent des relances et tombent dans l’oubli, réduisant mécaniquement le taux de recouvrement.
• Le pilotage de la trésorerie devient moins fiable, alors même que la facture électronique va exiger des flux parfaitement tracés et documentés. 

Des pratiques encore trop fréquentes dans les entreprises :

Dans de nombreuses entreprises, le reclassement en douteux se justifie souvent par des arguments bien connus :

• “Ce sont de vieilles créances”,
• “Le commercial est parti”,
• “Il y a eu un litige, mais on ne sait plus lequel”,
• “On ne travaille plus avec ce client”,
• “La société a été rachetée”,
• “Le client est une connaissance du président”… 

Autant d’excuses qui traduisent un manque de processus clair de gestion du poste clients et dégrade au global la performance financière de votre entreprise. 

Ne subissez pas la clôture, anticipez-la :

Année après année, ces comptes clients douteux tombent dans l’oubli jusqu’à être soldés en pertes lors de la clôture comptable. 
Quel gâchis ! 

Chez WORKING CAP, nous accompagnons nos clients pour transformer ces pertes en opportunités. 
Nous réactivons à l’amiable leurs comptes douteux grâce à une équipe dédiée basée à Maurice, spécialisée dans le recouvrement amiable de créances B2B. 

Les résultats parlent d’eux-mêmes 

• Forte accélération des encaissements (411) et résolution des litiges
• Nettoyage du compte 416 avec encaissement compris entre 3 à 17 % des encours confiés à WORKING CAP
• Production de certificats d’irrécouvrabilité pour récupérer la TVA
• Passage en phase contentieuse (entre 8 à 25 %) à notre filiale Ethimia 

Et surtout : WORKING CAP n’encaisse jamais les paiements de vos clients. Les règlements se font directement sur le compte de votre entreprise, garantissant une transparence totale. 

En 2026, la facture électronique imposera une nouvelle rigueur 

La généralisation de la facture électronique dès septembre 2026 va profondément transformer les pratiques de facturation et de recouvrement. 
Les entreprises devront connecter leurs systèmes comptables à des plateformes de dématérialisation (PDP ou PPF) et justifier de chaque statut de facture. C’est le moment d’assainir vos encours clients, d’optimiser vos processus de recouvrement et de réduire votre DSO avant la bascule. 

Sur ce type de sujet, croyez-nous : le plus difficile, c’est de décider. Pour le reste, on s’en charge !